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Gassho meiso & gassho kokyu ho. Par James Deacon ©, traduction Artus
Gassho meiso (méditation Gassho) et gassho kokyu ho (Respiration par les mains en gassho)
Le terme japonais gassho fait référence au geste rituel réalisé en plaçant ses mains – paumes l’une contre l’autre, dans la position de prière – devant la bouche – le bout des doigts juste sous le nez.
(De nombreuses personnes font également gassho avec les mains positionnées devant la poitrine, légèrement au-dessus du cœur.)
Gassho implique la reconnaissance de l’unicité de tous les êtres. Ce geste est également utilisé pour montrer de la révérence aux bouddhas, bodhisattvas, patriarches et enseignants.
Gassho meiso est généralement réalisé assis en seiza (cependant, pour les étudiants qui ne pas très souples, non accoutumés à « s’asseoir sur leurs talons » – qui trouvent que s’asseoir en seiza est inconfortable (et donc qui distrait) – la plupart des pratiques peuvent être réalisées dans d’autres positions plus familières et confortables.)
Fermez les yeux et centrez-vous sur votre hara : concentrez votre conscience sur votre seika tanden – une zone profonde à l’intérieur de votre corps à mi-chemin entre le nombril et le haut de votre os pubien.
Pendant un instant, soyez simplement « la » – silencieux et paisible « observant votre respiration » : vaguement concentré sur le rythme naturel de votre respiration. Il n’y a pas d’interférence avec le processus naturel – ne cherchez pas à respirer consciemment – simplement pour être conscient du fait que vous respirez sans effort.
Quand vous êtes prêt, réunissez doucement vos mains en position gassho (prière) et déplacez doucement votre conscience au bout de vos deux majeurs qui se touchent.
Oubliez tout le reste.
Il n’y a rien d’autre.
Maintenez cette conscience aussi longtemps que vous sentez de le faire.
Gassho kokyo-ho est généralement réalisé assis en seiza (cependant, pour les étudiants qui ne sont pas très souples, non accoutumés à « s’asseoir sur leurs talons » – qui trouvent que de s’asseoir en seiza est inconfortable (et donc qui distrait) – la plupart des pratiques peuvent être réalisées dans d’autres positions plus familières et confortables.)
Fermez les yeux et centrez-vous sur votre hara : concentrez votre conscience sur votre seika tanden – une zone profonde à l’intérieur de votre corps à mi-chemin entre le nombril et le haut de votre os pubien.
Pendant un instant, soyez simplement « là » – silencieux et paisible « observant votre respiration » : vaguement concentré sur le rythme naturel de votre respiration. Il n’y a pas d’interférence avec le processus naturel – ne cherchez pas à respirer consciemment – simplement pour être conscient du fait que vous respirez sans effort.
Quand vous êtes prêt, réunissez doucement vos mains en position gassho (prière), et déplacez doucement votre conscience au bout de vos deux majeurs qui se touchent.
Alors que votre corps respire toujours sans effort – soyez conscient alors que vous inspirez, de la lumière cristalline du reiki qui est également respirée dans vos mains et s’écoule dans votre seika tanden.
A ce moment avant que votre corps commence à expirer, soyez conscient de la lumière : sentez-la devenir plus forte et plus brillante dans votre seika tanden.
Alors que votre corps expire, soyez conscient que l’énergie cristalline du reiki est comme expirée par votre seika tanden – et à travers vos mains.
Continuez cette phase aussi longtemps que vous vous sentez de le faire.